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 Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets

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Messages : 183
Date d'inscription : 28/08/2014
Localisation : Quelque part dans le désert

Fiche Shinobi
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Daisuke Sasurai
Daisuke Sasurai
MessageSujet: Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets   Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets EmptyDim 31 Aoû - 15:03

Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets Tumblr_mefbivRXq31r9f0tko1_500
Sasurai Daisuke



Nom : Sasurai
Prénom : Daisuke
Sexe : Masculin
Village : Nukenin (Déserteur de Suna)
Clan : Sasurai
Grade désiré : Anbu
Rang désiré : S



À quoi ressembles-tu?

En m'apercevant de loin, vous ne distingueriez de moi qu'une silhouette distinguée comme vous n'en aviez jamais vu, dont le sabre fixé à ma ceinture dépasserait de mes droites hanches en biais. En vous approchant davantage, le regard froid et hautain que je vous jetterais vous dissuaderait de progresser encore. Mais peut-être que ma taille impressionnante, ma musculature aussi saillante que robuste ou même ma démarche nonchalante et supérieure suffiraient pour que vous passiez votre chemin. Mais si votre témérité vous demandait de me voir de plus près, vos sangs seraient glacés par la terreur que mon corps tout entier dégageait. Les longs cheveux rouges et raides qui surplombaient mon visage retombaient sur mes épaules aussi carrées qu'une figure géométrique. Quelques mèches rebelles erraient même près de mes yeux fins de couleur noire et aux reflets carmins, comme si ma chevelure déteignait sur les miroirs de mon âme. Laissant rarement place à la fatigue, vous ne distingueriez jamais les cernes parfois discrètement dissimulés sous mon regard dur, à l'instar des traits légèrement mates de mon visage qui s'efforçaient de ne montrer aucune émotion, se laissant gagner par l'impassibilité la plus totale. La seule délicatesse que vous daigneriez trouver sur mon visage serait éventuellement mon nez fin et remonté, dévoilant de petites narines rappelant celles d'un serpent. Quant à ma bouche, elle était aussi sévère que le feu et aussi allongée que la terre. Cette énumération de haine finissait par un menton brut et aplati.

La transition entre ma tête rectangulaire et le reste de mon corps s'exerçait par un cou assez discret. Mon buste tout entier était musclé, me permettant de défier n'importe qui uniquement grâce à ma force physique. Les bras qui en découlaient n'avaient rien à lui envier. Aussi volumineux soient-ils, ils ne manquaient pas d'agilité. Mon katana dégainé, je me sentais capable d'exécuter n'importe quel geste sans la moindre entrave. Je plaignais aussi le pauvre qui se prendrait un de mes coups de pied tant mes quadriceps et mes ischios-jambiers étaient développés. Ils ne m'empêchaient pourtant pas d'esquiver à ma guise, de courir aussi vélocement qu'un tigre ou même de ramper tel un serpent. Mes pieds en revanche n'avaient pas une taille excessivement grande, mais les pas qu'ils laissaient dans leur sillon résonnaient tantôt aussi lourdement qu'un tambour de guerre, tantôt aussi furtivement qu'un cobra prêt à se jeter sur sa proie.

Je considérais le kimono noir que je portais en permanence comme ma seconde peau. Je ne muais que la nuit, m'endormant bien souvent torse nu, à la lueur des étoiles. En plus du fourreau accroché à ma taille, je possédais une multitude d'armes ninja bien cachées dans la pochette spécifique située au niveau de ma jambe droite. Sa couleur semblable à celle de mon kimono lui permettait de s'y camoufler, bien à l'abri des regards indiscrets. Mon style vestimentaire avait bien changé depuis ma désertion, les Sasurai préférant arborer des couleurs vives. Une seule chose demeurait certaine : mon physique suffisait pour terroriser.
De l'intérieur, comment es-tu?

Ma personnalité a été forgée par l'éducation que j'ai reçue, mais encore davantage par les leçons que je me suis faites de la vie. Cette dernière n'est ni un cadeau, ni un devoir. Mais pour dépasser mes limites et atteindre mes objectifs, j'ai estimé indispensable d'établir un code personnel qui me serait propre. Une manière de vivre répondant à mes besoins et tenant compte de mes expériences passées. Chacune de mes maximes se justifie par mon histoire, et je m'acquitte de les respecter tant qu'elles me permettront de me rapprocher de mon objectif le plus primaire : accroître ma puissance et la montrer aux yeux du monde.

«La mort d'un homme au combat est la preuve de son incapacité.»
Commencer par la fin, quel brillant esprit. Si beaucoup pensent qu'une mort naturelle est digne d'un lâche, je préfère penser que c'est la manière la plus logique de disparaître : il s'agit tout simplement du moment choisi par la vie pour vous éliminer. Ceux qui périssent lors d'un affrontement, eux, sont bien à plaindre. En effet, leur mort sera à jamais gravée dans l'histoire comme étant un fatal échec, et c'est le moins qu'on puisse dire. Mourir après s'être battu signifie que vous avez admis votre infériorité, que vous êtes couard au point d'abandonner la vie et vos objectifs. Je n'imagine pas encore ma mort, loin de là. Tout simplement car je ne renoncerai jamais à la bataille.

«Nourris ta haine et abats ton courroux pour rétablir l'ordre.»
Contrairement à ce qu'on a pu m'enseigner, la vengeance n'est pas un vain défaut. Elle permet de ramener dans notre monde une équité des plus certaines. Néanmoins, toute vengeance n'est pas bonne à assouvir : honorer la mémoire d'un individu en ôtant la vie d'un autre, par exemple, est la chose la plus absurde qui soit. La destruction amène bien souvent la création, et vice-versa. Mais ce cas une des rares exceptions à la règle : détruire une entité pour en venger une autre disparue n'équilibre en rien la balance du monde. Au contraire, prendre sa revanche pour laver son propre honneur me paraît tout à fait concevable et sensé. La personne qui l'a souillé vous a effectivement volé quelque chose : en la supprimant, vous récupérez votre bien, ramenant ainsi l'harmonie et la stabilité.

«Préfère la solitude à la dépendance d'autrui.»
Je n'ai pas placé cette maxime au centre pour n'importe quelle raison : la solitude régit ma vie. Elle me permet notamment un réel travail sur moi-même et fait preuve de ma singularité, de mon authenticité. Grâce à elle, je suis mon unique objet d'étude : je me façonne sans me soucier des autres, me focalisant à terme sur la seule chose qui me tient à cœur, ma puissance personnelle. Les communautés nuisent au développement de cette dernière, et plus généralement des objectifs d'un homme. Vivre seul, c'est vivre libre.

«Arrive à tes fins coûte-que-coûte, même si tu dois tromper pour cela, ou même si la vie d'un autre homme en dépend.»
Atteindre ses objectifs est véritablement le sens de la vie de tout homme. Il faut donc être prêt à faire des sacrifices pour y parvenir. Cependant, un sacrifice personnel freinera dans tous les cas l'avancée de mon but : alors pourquoi ne pas sacrifier les autres ? La dissimulation et le mensonge sont des armes qu'il faut apprendre à maîtriser, sans quoi tirer les ficelles de ce monde est impossible. Seule ma propre vie a une réelle valeur. Je considère tout ce qui gravite autour comme des éléments insignifiants, inutiles, sacrifiables sans le moindre remord. La vie n'est pas un havre de respect. C'est une jungle sans limite et sans règle commune.

«Les sentiments privent un homme de sa liberté et de son bons sens. N'en éprouve pas.»
Il s'agit là sans doute du terme le plus difficile. Dompter entièrement mes sentiments semble inconcevable puisque l'apparition de leur bourgeon ne dépend pas que de moi. Et c'est aussi pour cette raison que la solitude est ma seule alliée : en vivant à l'écart de mes semblables, je vis à l'écart des problèmes. Les émotions peuvent rendre quelqu'un aveugle, l'affaiblir, le contraindre, le rendre fou. Ils n'apportent en rien le bonheur, à l'inverse de ce que pense la majorité. Se forcer à ne pas en ressentir est une obligation pour être libre. Le cas échéant, il faut parvenir à les refouler jusqu'à les éteindre. Rien n'est éternel, pas même un sentiment.

Ces cinq propos guident ma vie, et, bien que je sois susceptible de les modifier ou d'en ajouter, ils me semblent suffisants pour acquérir ce que je désire et accéder à une certaine forme de bonheur. Pour résumer le plus simplement possible : persévérer, vivre seul, ne jamais s'éprendre.

Une histoire à nous conter?

Chapitre 1 :
«We're born alone, we live alone, we die alone. Only through our love and friendship can we create the illusion for the moment that we're not alone.»

Au plein cœur d'une nuit d'été qui suivait une des journées les plus sèches de cette année, un cri perça le silence mordant de l'obscurité. Le premier son que j'émis. Mon père m'expliqua bien plus tard qu'il avait choisi Daisuke comme prénom en l'honneur de l'un de ses ascendants. Un grand homme respecté, à en croire ses récits passionnés. Peut-être espérait-il déjà que j'aspire à une vie extraordinaire. J'étais né Sasurai, un clan shinobi des plus anciens dont l'ambition principale était de montrer sa supériorité aux yeux du monde. Ce simple fait me poussait d'ores et déjà à ne pas être quelqu'un d'ordinaire. Contrairement à ce qu'on pourrait penser vis-à-vis de son ultime objectif, notre clan était très isolé du reste du monde. Pour me venir en aide dans ma quête du sommeil, ma mère me contait parfois les légendes de nos ancêtres. Autrefois, les Sasurai étaient des ninjas errant aux quatre coins du monde sans spécialement chercher de point fixe. Utilisant leur maîtrise du Son pour faire tomber leurs ennemis, des récits plus singuliers racontaient que certains Sasurai avaient eu la chance la plus extrême de tenir entre leurs mains des artefacts légendaires, comme l'Hirogeru, aussi appelée la «Lame de stridence», ou même l'Ibuki Yake, la «Flûte du désespoir». Je fus ainsi bercé par des sonorités épiques. Mais cette tendresse était exclusive à ma mère : on me mena la vie dure dès mon plus jeune âge. Alors que d'autres jouaient aux ricochets, je jouais avec le son. A vrai dire, mes entraînements n'avaient rien de récréatif, étant menés par les hommes les plus durs du clan.

Lorsque ma mère atteignit ses vingt ans – je vous passerai les détails concernant son jeune âge, les mariages arrangés étant de coutume au sein de notre société –, elle fut soumise aux Épreuves du Son. Tous les Sasurai étaient élevés pour être un jour confrontés à ce test du tout ou rien. En effet, si les réussir était synonyme de liberté et de considération, les échouer reflétait une incapacité à représenter le clan dans le monde extérieur. Si tel était le cas, votre propre père se devait de vous décapiter afin de faire peser la honte sur votre famille même après votre disparition. Je l'eus très vite compris : il n'y avait pas de place pour les faibles parmi les Sasurai. Âgé à cette époque de trois ans et des poussières, je fus témoin d'une scène qui marquerait ma vie pour de bon : face à son échec, ma mère fut décapitée par mon grand-père, seulement à quelques mètres de moi. J'avais pu contempler son visage épanoui une dernière fois. Je m'en souvenais d'ailleurs encore, comme s'il était resté figé, quelque part dans mon esprit. Elle quitta notre monde avec le sourire. Je vécus une période difficile, rêvant de son exécution chaque nuit. A ce moment, je pensais réellement que son regard me hanterait pour l'éternité. Me faire sermonner par mon père lorsque j'étais venu chercher en lui du réconfort après un effroyable cauchemar n'était pas non plus un détail que j'oubliais avec aisance. Il parvint à me mettre en tête que si sa bien-aimée n'était plus à nos côtés à présent, cela signifiait qu'elle ne le méritait pas. Je me forgeai alors une personnalité à toute épreuve, me forçant à me convaincre que ma mère était tout bonnement une incapable.

Six ans plus tard, je maniais déjà l'Onkyoton d'une facilité déconcertante. Je m'entraînais le plus souvent seul, mon père ressassant à longueur de journée qu'il avait d'autres chats à fouetter. Mais je le comprenais bien : depuis quelques temps, le clan s'était ouvert au monde. Notre chef Okubyou avait décidé de s'allier aux puissants clans Fuki, Senju et Uchiha. Il était donc devenu commode de voir des shinobis de ces grandes familles s'aventurer dans notre domaine perdu au beau milieu d'une forêt. Si commode que je surpris un soir mon père avec une femme dans son lit. Une Fuki, à en croire sa façon de laisser s'échapper de la vapeur de ses oreilles telle une locomotive. Mais je ne pouvais pas en vouloir à mon père. S'il était prêt à refaire sa vie, cela ne regardait que lui. Un jour, alors que je tentais d'amplifier subitement un son par le biais de mon affinité héréditaire, je fis par le plus grand des hasards la rencontre d'un binôme incongru. Les deux jeunes gens, gênés par le son désagréable que je venais de provoquer, s'empressèrent de plaquer leurs mains sur leurs oreilles. M'excusant du dérangement, ils en profitèrent pour me complimenter à propos de ma technique. Et c'est ainsi que notre relation débuta. Tous deux un peu plus grands que moi, ces deux garçons appartenaient respectivement au clan Senju et au clan Uchiha. Issus de clans autrefois totalement opposés, ils avaient pourtant réussi à se lier d'une forte amitié. Les deux visiteurs semblaient avoir repéré un semblant de talent en ma personne. Mais ils préféraient se contenter du fait qu'ils soient attristés de me voir si seul pour fournir une explication quant au subit intérêt qu'ils portaient pour moi.

Entretenant une relation de plus en plus sincère, ils décidèrent de m'initier au domaine dans lequel ils excellaient : le Uchiwa m'apprit donc les bases du Genjutsu et le Senju celles du Fuinjutsu. J'étudiai ces arts à leurs côtés pendant près d'un an, assimilant tout le savoir qu'ils daignèrent partager avec moi... jusqu'à ce que la guerre nous sépare. En effet, ils disparurent du jour au lendemain. J'appris quelques temps plus tard que les clans Senju et Uchiwa avaient été entièrement décimés par la guerre des clans, notamment à cause du clan Buichi. Ce dernier avait remporté la victoire, et notre clan, aussi bien que les Fuki, n'avait pas triomphé. Attisant une haine envers ces présomptueux vainqueurs, je me promis de continuer à m'exercer au Genjutsu et au Fuinjutsu afin d'honorer la mémoire de mes amis disparus. Mes souvenirs remontant à cette période restaient tout de même assez flous. Mais je pouvais encore me remémorer l'instant où mon père apprit que la Fuki qu'il fréquentait était tombée sur le champ de bataille. A l'instar de ma propre personne, il voua dès lors un désir de vengeance envers le clan Buichi, responsable de toutes ces atrocités. Dans cette ère de tourmente, notre chef Okubyou décida de suivre le clan Fuki qui partageait sa volonté de justice. Je vis de nombreuses personnes de mon entourage succomber à la traversée du désert que nous avions entamée. Mais mon père et moi arrivâmes sains et saufs jusqu'à l'endroit où serait plus tard érigée la grande cité de Suna. C'était le début d'une nouvelle vie.


Chapitre 2 :
«The strength of a nation derives from the integrity of the home.»

Quatre longues années passèrent. Quatre années durant lesquelles nous bâtîmes pierre par pierre notre nouveau foyer. Quatre années durant lesquelles je tâchai de devenir de plus en plus puissant, aussi physiquement que mentalement. On m'avait attribué le grade de Genin, le plus bas de l'échelle. J'étais pourtant certain de dépasser de loin tous les individus de mon âge, ayant à la fois développé mes capacités dans l'Onkyoton, le Genjutsu et le Fuinjutsu. Mes pouvoirs résumaient aussi bien l'héritage de mon clan que celui de mes défunts amis. Pourtant, mon père, le grand Usami, estimait que mes talents n'étaient pas assez offensifs, qu'ils servaient uniquement à distraire l'ennemi. Qui était-il pour penser une telle chose ? Les arts des Uchiha et des Senju avaient, contrairement au nôtre, le point fort d'être très polyvalents. Mais il ne voulait rien en croire... Un soir, alors que je me promenais dans le quartier de Suna réservé aux Sasurai, j'eus l'étrange impression de me faire suivre. En effet, un petit groupe de cinq shinobis – des genins à en croire leur air saugrenu –, marchait dans la même direction que la mienne depuis bien trop longtemps à mon goût. Mais un détail restait encore bien plus intriguant : les Sunajins qui souhaitaient s'aventurer dans notre domaine devaient nécessairement avoir une autorisation spéciale. Pourquoi les gardes, pourtant très vigilants, auraient-ils laissé ces ahuris souiller notre sol ? Je ne tardai pas à répondre à ma propre question... Me faufilant dans une ruelle pour tenter de les semer, je fus surpris par l'un d'entre eux qui sauta d'un toit pour me faire face. Jetant un regard par-dessus mon épaule, je me rendis vite compte que j'étais encerclé par ces cinq jeunes gens qui affichaient un regard benêt, prêts à en découdre. Aussi bourrus soient-ils, ils demeurèrent honorables dans la mesure où ils se confrontèrent à moi chacun leur tour. Le premier me jeta une poignée de shurikens que je déviai sans mal en propulsant des ondes supersoniques de mes mains : ses propres armes se retournèrent aussitôt contre lui, le transperçant de toutes parts. Ses cris de douleur ne suffirent pas à couvrir les incantations du deuxième, qui préparait d'ores et déjà une technique dans mon dos.

- Katon : la balsamine !

Me retournant à vive allure, j'exécutai des mouvements amples afin d'esquiver toutes les boules de feu qui se dirigeaient vers moi. Ceci fait, je me saisis de deux shurikens, lançai le premier sur mon assaillant en faisant mine de mal viser puis complétai mon enchaînement par un Genjutsu basique décalant la vision de l'ennemi. Je jetai ensuite le deuxième shuriken qui, grâce à mon illusion, semblait ne pas risquer d'atteindre ma cible. S'il m'avait connu un tant soit peu, il aurait su que je ne ratais jamais le moindre lancer. Il reçut sans grande surprise mon arme en plein abdomen et chuta, neutralisé. Celui d'après fonça au corps-à-corps sans plus tarder : il était vraisemblablement plus à l'aise en Taijutsu. Je me laissai approcher et dégainai un kunai, esquivant ses coups ou les parant à défaut de pouvoir les contrer. Je préparai un sceau en pleine action et l'appliquai sur le poignet de mon ennemi après avoir esquivé un de ses multiples coups de poing. Ce Fuinjutsu endolorissant donnait l'impression de ressentir une extrême douleur pendant à peine quelques secondes. Mon ennemi hurlant d'une peine atroce, ce délai fut amplement suffisant pour prendre le dessus en lui portant un coup d'arme blanche au bras. Et sa douleur devint réalité. Le suivant me surprit davantage que les précédents en faisant sortir d'un parchemin une grande marionnette qu'il manipula avec des fils de chakra. C'était bien la première fois que je voyais une technique de la sorte... Le géant de bois était équipé de lames circulaires aux bras, lui permettant de trancher tout sur son passage. Je tentai de le repousser avec des ondes supersoniques... en vain : mes mudras à peine effectués, des piquets sortirent de ses chevilles articulées pour se planter dans le sol. Ainsi, pas même la plus puissante de mes ondes ne parvint à l'en décoller. Je décidai de tenter une approche différente en apposant cette fois-ci un sceau sur sa marionnette de la mort l'empêchant de la manipuler pendant un court instant. Je profitai de ce répit pour réitérer ma propagation d'ondes supersoniques sur ce qui était désormais devenu un tas de bois ordinaire. Ce dernier fut propulsé sur son maître avant de s'écrouler dessus, entravant tous ses mouvements. Je me tournai alors pour faire face au dernier du «club des cinq». Il ne semblait absolument pas déstabilisé d'avoir vu ses amis se faire rouer de coups un par un et gardait un regard des plus concentrés. D'un geste vertueux, il dégaina un long sabre et le pointa vers moi. Il tenta une fente pour ouvrir les hostilités. J'esquivai sans grande difficulté et tendis ma paume vers son crâne pour de nouveau lui envoyer des ondes. D'un geste élégant, il balaya ma technique avec son sabre infusé de chakra et me lança avec véhémence en fronçant les sourcils :

- Tu ne croyais quand même pas m'avoir avec ta technique de débutant ?

Blessé dans mon orgueil, je fis quelques pirouettes en arrière avant de lui lancer une ribambelle de kunais et de shurikens. Quelle ne fut pas ma stupéfaction lorsque je le vis faire un mudra avant de planter son sabre dans le sol, comme s'il s'avouait vaincu. La réalité fut tout autre : toutes mes armes se précipitèrent sur la sienne, comme attirées magnétiquement. Il me sourit avec arrogance, me laissant comprendre qu'il devait s'agir d'un Kekkei Genkai. Après le marionnettiste, les surprises ne manquaient pas aujourd'hui ! J'ignorais totalement qu'il était possible de maîtriser le magnétisme des métaux. D'un coup vif porté au manche de son arme, toutes les armes de jet jusque là restées collées à l'acier tombèrent au sol, formant une pile représentative de mon échec. Je décidai de passer à la vitesse supérieure en employant cette fois-ci une illusion, celle du clone de brume : après avoir composé mes quelques mudras, mon opposant se retrouva face à une foule de clones identiques à moi-même qui se dédoublaient dès qu'ils les touchait. D'abord surpris, l'épéiste se reprit vite en tranchant tous ceux qui s'approchaient un peu trop de lui. Ce réflexe, bien qu'humain, n'avait pas la moindre utilité : il ne faisait qu'augmenter le nombre de clones s'approchant de lui. Je pris les choses en main en imitant les mouvements amorphes de mes semblables, bien décidé à lui porter le coup de grâce lorsqu'il serait débordé par le nombre. Mais je me fourvoyais une fois de plus : je l'entendis s'esclaffer, puis le son de l'acier tombant au sol retentit de nouveau. Il forma le signe du tigre avec ses mains puis s'exclama «Kai !», le libérant de l'illusion. Ce type-là avait visiblement plus d'un tour dans son sac... Il se saisit de son sabre de nouveau et fendit les airs en y infusant du chakra, donnant une teinte bleue à sa lame. Je dégainai un kunai pour parer son assaut. Bloquant l'attaque, je serrai mon arme contre la sienne, déterminé à prendre le dessus par ma simple force physique. Je n'avais cependant pas anticipé qu'il dégagerait son chakra jusqu'à moi, me faisant soudainement perdre l'équilibre. Il profita de ce sursis pour me porter un coup net et rapide au niveau du buste. Me tordant de douleur, je tombai à genoux en plaquant mes mains contre ma plaie béante. J'avais perdu... Pour la première fois, j'avais bel et bien perdu un combat.

- C'est ton petit pôpa qui va être content : il avait raison, tu es trop faible. Mais tant mieux pour nous, ça nous fera de l'argent de poche.

Je devinai au son de ses pas qu'il avait fait volte-face avec les quatre autres et qu'ils s'en étaient allés. J'étais trop occupé à fixer le sol pour les regarder partir. Jamais je n'avais connu un tel affront. Et cette dernière révélation n'arrangea en rien ma douleur : c'était un sale coup de mon père, prêt à tout pour me prouver qu'il avait raison. Mais ma défaite était peut-être bien la preuve que j'avais tort... Il était pour moi trop tôt pour l'avouer, mais c'était bien le cas. Je me remis en question pendant mon séjour au centre de soins du clan. Je ne reçus d'ailleurs aucune visite de mon père, sans doute trop occupé, comme d'habitude. A ma sortie, celui-ci me confia qu'il aurait sans doute plaidé ma cause auprès du chef du clan pour me promouvoir Chuunin si j'avais remporté ce «petit défi». J'en fus d'autant plus déçu, estimant que je méritais mieux que le plus bas grade... Durant les nuits qui suivirent, je ne cessai de cauchemarder à propos de ce garçon qui m'avait humilié. Le garçon au sabre magnétique. D'ailleurs, c'était plus particulièrement sa maîtrise de l'épée qui m'obsédait. Tous ses mouvements gracieux défilaient dans mon esprit, torturant mon sommeil, m'obligeant à revivre encore et encore cette extrême souffrance. La douleur physique n'était pas la pire à supporter, loin de là. Ce ninja m'avait volé mon honneur.

Afin de me racheter, je décidai de me former également au Kenjutsu. Un atout offensif supplémentaire ne pouvait faire de mal à ma panoplie de techniques. En écho à l'interdiction de sortir de notre ancien campement avant d'avoir fait mes preuves, je n'avais pas l'autorisation de fréquenter des personnes extérieures au clan avant d'avoir réussi les Épreuves du Son. Je fus donc contraint de demander l'assistance d'un de mes compères, le vieux Shintaro, aussi appelé le Geignard à l’Épée. Il valait ce surnom du fait qu'il ne cessait de se plaindre que sa vie était mieux par le passé, que le clan était bien plus rayonnant lorsqu'il n'était pas dépendant de Suna. Il fut finalement assez heureux de constater que quelqu'un avait besoin de lui, manquant vraisemblablement d'affection. Au cours d'un de nos nombreux entraînements, il me demanda ce que je comptais faire de toute la puissance que j'accumulais. Après un bref instant d'hésitation, plus pour trouver mes mots que pour réellement réfléchir, je lui répondis que je désirais coûte-que-coûte me venger des Buichi et du garçon au sabre magnétique. A son tour, il répliqua d'une mine dépitée que la vengeance n'apportait rien à la vie, contrairement à la puissance et l'autonomie. Vivre seul permettait selon lui d'être prêt à tout. Il était convaincu que les trop grandes communautés affaiblissaient la force de l'homme, né pour embrasser la solitude. Il m'expliqua d'ailleurs que son fils avait fait un autre choix que nous : il faisait partie du groupe de Sasurai certains que la guerre avait été perdue à cause des autres clans, et qu'ils devaient garder leur indépendance. Ce groupe s'était séparé du nôtre avant que nous ne suivions Homare Fuki à travers le désert. Shintaro-sensei n'avait pas suivi son fils car il croyait encore, à cette époque, à l'unité du clan. Désormais, ayant constaté que les Sasurai étaient devenus les sous-fifres d'un tyran, il regrettait amèrement sa décision. Remarquer que les avis au sein de notre clan étaient plus divergents que ce que je pensais fit évoluer une réflexion en ma personne : je commençais à me poser des questions sur la crédibilité de notre clan. Toutes ces restrictions d'isolement au sein même de Suna n'avaient plus leur sens, à présent que nous étions unis à ce village. C'était comme si nous n'avions pas totalement fait notre choix : étions-nous réellement des Sunajins ?

Au bout de quelques mois d'apprentissage, je reçus tout le savoir de mon vieux maître. L'estoc, le coup latéral, les coups en biais ; tous passèrent au peigne fin du regard avisé de Shintaro. Comme il le répétait si souvent lorsque je le vainquais en duel en profitant de mon agilité juvénile, je ne faisais plus qu'un avec mon épée. Il m'en avait d'ailleurs offerte une bien belle, souple et maniable. Je l'avais appelée «Boyaku Haraise» – ou «Revanche Geignarde» –, autant en référence à mon désir de vengeance qu'à mon maître philosophe. Lorsque Shintaro-sensei me déclara apte à progresser seul, il mit fin à ma formation, me déconseillant également en vain de ne pas chercher à prendre ma revanche et m'expliquant de préférer la puissance, indispensable pour se faire respecter, ainsi que l'autonomie, pour rester libre de sa vie. Le lendemain, j'appris qu'il avait été exécuté aux aurores pour avoir tenté de déserter dans la nuit. Ce fait choquant me fit comprendre que Suna n'était que le prolongement de la prison qu'était mon clan actuellement. Même après mes Épreuves du Son, je resterai le docile pantin d'autrui. Je me promis alors de me libérer de cette infamie, lorsque le moment sera venu. Mais j'étais conscient que je devais avant tout accumuler davantage de puissance. Ayant constaté mes progrès en Kenjutsu, mon père me recommanda enfin pour devenir chuunin. Malheureusement, le Kazekage refusa notre requête, affirmant qu'il préférerait plutôt expérimenter une nouvelle méthode pour évaluer les ninjas de chaque rang : des examens. On m'inscrivit donc aux tous premiers examens chuunins du village. J'espérais sincèrement retrouver les cinq lascars qui m'avaient causé un tel affront : ces épreuves étaient la parfaite occasion de me venger. Mon intelligence surdéveloppée et ma maîtrise quasi-parfaite des quatre arts que je connaissais déjà à ce jour me permirent de surmonter sans mal la plupart des embûches semées sur ma route. Je me hissai ainsi jusqu'à la dernière épreuve : un combat singulier contre un autre Genin. A ma grande surprise, il s'avérait que mon adversaire n'était autre que l'épéiste que mon père avait engagé. J'appris ainsi son nom : Kazutaka Nodoka. Il fut surpris de me retrouver, et encore plus lorsqu'il aperçut Boyaku Haraise à ma taille.

- Alors comme ça, tu es devenu sabreur ?

- Je vais te battre à ton propre jeu. lançai-je avec défiance.

Je dégainai alors mon sabre d'un geste ample. Cette fois-ci, hors de question de lui laisser le quelconque avantage. Je le vaincrai quoi qu'il arrive. Je retrouverai mon honneur perdu. Une promesse intérieure plus tard, je m'élançai vers mon ennemi, déterminé. Nous échangeâmes un nombre de coups impressionnants sans que quiconque ne prenne le dessus. Ce constat me rassura : j'avais atteint en quelques mois le niveau d'un maître. Mais tout ceci avait assez duré... Je devais mettre un terme à cette rivalité naissante. Je fis quelques pas en arrière pour m'écarter de Kazutaka, puis j'insufflai du chakra dans ma lame, l'entourant d'un halo bleu. Mon ennemi fit de même avant de retourner au combat. Dès lors, je sentis l'affrontement prendre un tout autre ton : les coups étaient plus délicats à parer et chaque échange nous épuisait un peu plus. J'insistai alors en utilisant la technique qui m'avait autrefois coûté la défaite et que j'avais su apprendre tel un autodidacte : la parade d'union. Elle me permit de décharger mon chakra dans la lame de mon adversaire puis dans mon adversaire lui-même. Il fut ainsi déséquilibré un court instant.

- Ça ne te rappelle rien ? lui soufflai-je en pleine action, tentant de lui asséner le coup fatal par un shômen, une coupe du haut vers le bas.

Alors que je croyais la victoire mienne, Kazutaka m'étonna de nouveau : Boyaku Haraise fut soudainement attirée au sol, neutralisant mon assaut. Je baissai les yeux pour tenter de tirer une explication de cette situation invraisemblable et découvris qu'alors qu'il était sonné, mon opposant avait lâché son propre sabre. Il avait par la suite utilisé sa technique de magnétisme pour attirer mon épée jusqu'à la sienne. Il enchaîna dans l'immédiat en lançant dans ma direction deux petites balles de plomb qu'il venait de sortir de sa poche. Étant très près de lui à cet instant, elles me touchèrent aussitôt et me repoussèrent au loin par leur force magnétique. Encore un mauvais coup de son Jiton... Ceci fait, Kazutaka se saisit de nos deux sabres encore au sol et y infusa son chakra avant de s'élancer dans ma direction. Je propulsai alors des ondes supersoniques pour essayer de le repousser, mais il dégagea celles-ci d'un revers des deux sabres bleutés. L'aura qui éventa les ondes produisit un son semblable à celui d'une puissante bourrasque de vent. Quel son mélodieux. Annonçait-il ma défaite ? Impossible. J'en revins alors aux sources de mon clan, aux racines de mon talent : l'Onkyoton. Alors qu'il s'approchait dangereusement de ma position, Kazutaka fit entrechoquer ses deux sabres, faisant retentir un son d'acier bien spécifique. Concentré, je m'emparai de ce son précis et l'utilisai à ma guise, amplifiant son intensité et le condensant au niveau des oreilles de mon ennemi. Et cette fois-ci, il ne pouvait rien y faire : on ne peut parer le son. Le volume sonore était si insupportable pour ses oreilles qu'il se mit à genoux, plaquant ses mains sur ses oreilles et me suppliant d'arrêter cette torture. Amusé, je continuai d'en augmenter la hauteur, allant jusqu'à briser ses tympans et les canaux semi-circulaires de son oreille interne. Je marchais, appréciant ses hurlements de douleur. Quel son mélodieux. L'équilibre devait être rétabli. La mascarade était terminée. Je ramassai Boyaku Haraise qu'il avait vulgairement laissée tomber, profitai un dernier instant de sa voix terrifiée puis lui assénai le coup fatal en le transperçant de part en part. Ceci fait, je posai mon pied sur son torse, prenant appui sur son cadavre afin d'en déloger la lame de mon courroux. Je levai cette dernière haut dans le ciel, acclamé par la foule en délire et observé par le regard satisfait de mon père. Je ne m'attardai pas davantage dans cette arène tâchée de sang, certain que mon grade était en poche. Justice avait été rendue.

Ton Clan

Les Sasurai constituent un clan presque aussi ancien que ceux des Senju et des Uchiwa. Ces individus indépendants maîtrisent un Kekkei Genkai unique au monde : l'Onkyoton. Fiers de leur maîtrise du son si exceptionnelle, ce clan s'est écarté des autres sans pour autant manquer d'audace. Leur but premier est avant tout de montrer leur supériorité aux yeux du monde. Pour accomplir cet objectif, le clan respecte à la ligne des traditions très précises qui remontent à ses origines. Parmi tous leurs mœurs, l'un d'entre eux ressort davantage : les épreuves du Son. Désireux d'apparaître comme un clan hors du commun et surpuissant, les Sasurai soumettent les individus atteignant l'âge de vingt ans à un test des plus complexes, mêlant puissance brute, intelligence et courage. L'échec aux épreuves est intolérable, si bien qu'un apprenti ne parvenant pas à les réussir se voit décapité par son propre père, ou à défaut par le chef du clan. A fortiori, la réussite aux épreuves permet non seulement à un Sasurai d'obtenir l'autorisation de sortir du campement du clan, mais aussi la permission de signer le pacte d'invocation qui leur est exclusif, celui des serpents. Ces traditions ne permettent que très peu de libertés à de jeunes individus qui n'ont pas encore atteint leur vingtième anniversaire : ceux-ci sont forcés de rester dans les baraquements du clan, à espérer qu'ils ne failliront pas à leurs épreuves le jour venu. Leur seule occupation est par conséquent l'entraînement.

A l'époque des guerres claniques entre d'une part les Uchiwa, les Senju et les Fuki et d'autre part les Buichi, Okubyou, l'actuel chef du clan, décida de s'allier au premier parti, s'écartant donc de la philosophie isolationniste traditionnellement forte chez les Sasurai. Bien qu'Okubyou désirait initialement profiter de la puissance de ces clans majestueux, son choix fut rapidement très critiqué et des dissidences commencèrent à apparaître au sein du groupe. Mais gardant tous en tête l'idée de montrer leur puissance aux yeux du monde, ils parvinrent à rester unis malgré ce désaccord. Au fil des mois, les conflits contre le clan Buichi ne cessèrent de s'amplifier... jusqu'à la défaite de la grande alliance clanique. Certains membres du clan Sasurai reprochèrent à leur chef de s'être allié avec d'autres, convaincus que leur défaite était uniquement due à l'incompétence des autres clans. Ils quittèrent le clan aussitôt et l'on eut plus jamais entendu parler d'eux.

Okubyou n'en tint pas compte et les Sasurai suivirent ainsi les autres clans jusqu'à la construction du village de Suna, déterminés à laver leur honneur bafoué par le clan Buichi. Ils n'oublièrent pas leurs traditions au sein de ce nouveau village, forçant les mineurs à rester dans le domaine du clan. Néanmoins, Okubyou profita de son statut pour s'attirer les grâces du pouvoir en place et ainsi s'abriter dans le sérail de l'élite sunajin. Feignant l'obsession d'une vengeance pour plaire au Shodaime Kazekage, Okubyou laissait les mœurs des Sasurai de plus en plus à l'écart. Daisuke Sasurai, un jeune homme qui avait bien compris que leur chef n'était plus à même d'accomplir l'objectif primaire du clan, défia ce dernier en duel peu après avoir réussi haut-la-main ses épreuves du Son. Contre toute attente, le jeune homme vainquit Obukyou en combat singulier. Il réclama le titre de chef du clan qui lui revenait de droit et exprima ses intentions, comme son souhait d'organiser un coup d'état sur la personne du Kazekage, en un discours charismatique. Mais il n'arriva à rien, les Sasurai s'étant trop habitués au confort prodigué par l'appartenance à un village. Même le père du jeune homme, Usami, le renia et le dénonça aux autorités Sunajins. Daisuke parvint à prendre la fuite du village à temps, désertant officiellement Suna. Le clan resta brisé par ces événements, mais Usami en reprit le flambeau, se jurant de respecter les volontés de son ancien chef assassiné par son propre fils.

Pour plus d'informations, veuillez consulter la fiche du clan Sasurai.
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• Changerais-tu quelque chose? Si oui, quoi? : Je sais pas, mais on verra bien.
• As-tu déjà RP? : Oui, en RP instantané sur des MMO (WoW, SWTOR) et aussi sur un autre forum Naruto.
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Dernière édition par Daisuke Sasurai le Dim 21 Sep - 19:52, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets   Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets EmptyMer 3 Sep - 12:06

Allez allez, on se dépêche :p
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MessageSujet: Re: Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets   Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets EmptyMer 3 Sep - 13:39

Je te souhaite une fois de plus un bienvenue, malgré le fait qu'on se soit déjà parlé sur la CB ^^ bonne chance pour ta prez, plus que deux partie à remplir, courage.
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MessageSujet: Re: Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets   Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets EmptyVen 5 Sep - 17:25

Merci à vous. Description mentale postée. Ça avance petit à petit. Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets   Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets EmptyDim 14 Sep - 13:38

Merci à vous. Description mentale postée. Ça avance petit à petit. Rolling Eyes

EDIT VISIBLE : Chapitre 1 de l'histoire ajouté à la présentation. Plus que 3. x)
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MessageSujet: Re: Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets   Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets EmptyDim 14 Sep - 17:52

Courage !
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MessageSujet: Re: Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets   Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets EmptyDim 21 Sep - 19:53

Chapitre 2 posté. Le courage doit désormais être souhaité à ceux qui s'aviseront de lire ces 4000 premiers mots. Plus que deux chapitres. Wink
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MessageSujet: Re: Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets   Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets EmptyLun 22 Sep - 22:30

J'ai lu ! Je dois t'avouer que j'aime ! Néanmoins, tu fais passer Kazutaka pour un "méchant" alors qu'il ne se bat que pour s'amuser... Enfin bon, on dira que la moquerie fait partie de l'âge Wink
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MessageSujet: Re: Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets   Daisuke Sasurai, le serpent des sables muets EmptyMar 23 Sep - 4:45

Être jeune, c'est être con. Cool
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