Tanaka Otoe

À quoi ressembles-tu?

Elle se tenait là, seulement assise, presque désarticulée, avachie contre le mur du salon. Les bras ballant près de ses cuisses, le visage inexpressif tourné vers le mur d'en face, ses jambes pliées selon un angle étrange.  Elle était si parfaitement immobile qu'il n'y avait à cet instant rien au monde qui ressemble à une poupée qu'elle-même.

La lumière tamisée de l'endroit, jouait de reflet contre sa peau de lait, lui offrant quelques rougeurs ravissantes et délicieuses.  Des couleurs qu'elle ne possédait pas.  Quoique l'attention puisse rosir ses joues de la même façon que le froid mordant de l’hiver éternel de la région. Une peau qui n'avait pas été éprouvée par la guerre mais qui sous sa douceur crème portait tout autant de stigmates, légèrement luisante aussi car s'était la sa prime punitions pour cette existence qu'elle n'aurait pas du mener : Comme un joli papillons aux milles couleurs, un oiseau dans une cage elle portait sur elle sans fragrance, le secret de la sécrétion naturelle de bon nombre de toxines qui enduisaient sa peau comme on habille une reine de Lumière. Elle avait vécu sa vie d'une certaine façon.  La lumière irisait aussi , tendrement, la courbe délicate de sa gorge et sa poitrine, le creux de ses hanches, tout juste sortie de l'enfance, ses traits fins possédaient encore quelques rondeurs délicates. Elle était immanquablement femme mais c'était encore quelque chose d'aérien, de timide.

Ses membres, ses bras, ses jambes, étaient longs, fins parfaitement proportionnés à sa silhouette toute en finesse. Haute d'un bon mètre soixante-cinq, elle était d'une délicate et soucieuse symétrie qui renforçais le sentiment de malaise qu'on ressentait en la regardant.  Parce qu'elle avait un visage superbe, magnifique mais que son manque d'expressivité et son incroyable harmonie rendait presque totalement inhumain. Comme si elle avait juste été une poupée particulièrement bien réalisée.  Il était là, son visage, ses traits fins, délicats, pâle tellement qu'elle avait l'air presque malade, fragile.  Son nez droit, court et ses yeux ...Ses yeux étaient deux puits sans fonds. Bleus presque noirs comme une nuit sans lune et sans  étoiles, amoureuse au front noir qui avait finalement raison de toute vos résolutions. Avides et irréels et vous aviez parfois la conviction qu'ils attiraient un peu de votre âme dans leurs profondeurs abyssales.

Il y avait ses cheveux noirs. Noirs comme de l'encre, noirs comme des ailes de corbeaux, noirs comme  univers sans lumière, qui tranchait presque cruellement avec la pâleur de sa peau. Fins comme de la soie à peine tissée, et long, si longs comme l'hiver éternel de Kayo. Forts, brillants, ils donnaient souvent l'air d'être la partie la plus vivante de son corps et à cet instant plus que jamais.

Elle n'avait pas été formée pour être un ninja et son corps n'était certainement pas musclé et pour être honnête elle était sans doutes trop maigre pour son propre bien , faute d'être musclée elle possédait une souplesse affolante et des réflexes presque surnaturels comme si la connexion entre son cerveaux et ses muscles se faisait plus rapidement. Mais Otoe était maladroite et manquait souvent d'équilibre, avait parfois des soucis à coordonner ses mouvements. Elle était plutôt gracieuse quand elle se déplaçait et était immanquablement endurante. Il y avait parfois un éclat inattendu dans le fond de ses prunelles et d'une certaine façon c'était comme ça qu'elle communiquait. Parce qu'Otoe ne parlait pas. Elle n'en avait jamais eu la capacité, comme un contre coup des capacités qu'on lui avait octroyées en jouant avec son code génétique.  Jamais un son même pas un murmure.

Immobile et silencieuse. Gentile, gentille petite poupée.

De l'intérieur, comment es-tu?

Silence sous ses yeux de poupée.
Otoe est silence. La claustration dont elle à toujours été victime d'abord à cause de sa peau si toxique et en suite à cause du fait qu'elle ne peux pas parler en à fait une personne psychologiquement très fragile. Mais la première chose qui marque chez elle c'est ce calme inhumain qui la traverse comme si le monde extérieur se construisait autour d'elle sans jamais l'englober. Comme si rien n'avait de réelle importance, que cette agitation est vaine , vulgaire.  Mais c'est une fine observatrice. En dépit de son silence c'est une personne particulièrement intelligente et qui gagnerait sans doutes à pouvoir s'exprimer. Parce qu'elle ne parle pas et ne semble jamais être réellement en phase avec le monde qui l'entour il est facile de s'y laisser tromper et de dire en sa présence des choses qu'on aurait normalement gardées secrètes.

Otoe est douée pour disparaître, se faire oublier, et si elle semble vulnérable ou totalement inoffensive c'est parce qu'il est facile d'oublier que tout son corps est une arme. Mais c'est une jeune fille plutôt douce, elle toujours souffert d'un manque effectif brutal qui l'a rendue instable émotionnellement, c'est une enfant qui n'as jamais été bercée par une mère ou touchée dans infinie précaution et il n'est pas facile de savoir quand elle va passer d'un coté ou de l'autre. Compliqué de savoir si sa présence est la bienvenue ou si elle va la plonger dans une crise de rage ou de panique. Comme elle à toujours été enfermée , exclue elle garde sur le genre humain en général une méfiance douloureuse.  Elle se met facilement sur la défensive et à toujours peur de créer des problèmes par accident. Apprendre à contrôler ses capacités à été particulièrement libérateur pour elle mais elle n'est jamais sure d'y être arrivée parfaitement et à toujours peur des accidents. Elle est peu assurée, n'as pas confiance en elle.

Elle n'est pas particulièrement lettrée. Elle sais un peu écrire et lire pour les besoins de sa communication mais de reste elle n'est pas le genre de personne qui s'enfermera avec un livre.  Naturellement soumise tant à ceux qui sont plus fort qu'elle qu'à ceux qui lui portent de l'intérêt, elle à toujours eu le goût de bien faire les choses, de rendre les gens heureux, comme si ça pouvait la faire accepter. Dévouée et fidèle, comme un petit animal il n'est pas difficile de gagner son affection mais il faut s'assurer de ne pas la trahir par la suite. Elle à terriblement peur de l'abandon et cette phobie la rend totalement incohérente, presque dangereuse.

C'est peut-être parce qu'elle n'as  pas eu d'enfance, mais elle est parfois particulièrement cruelle. Ce n'est pas par méchanceté ou par goût de faire souffrir mais seulement une façon de faire ses propres expériences. Elle à un profond sens du sacrifice n'hésitera sans doutes pas à mettre fin à sa vie si celle de quelqu'un à qui elle est dévouée en dépend.  Elle ne ressent que des émotions assez simples, elle aime ou elle déteste, les nuances sont encore un peu compliquées pour elle et elle ne sais pas comment les appréhender.  Instable elle passe facilement d'une émotions à l'autre , peu se mettre subitement à pleurer sans que vous n'en compreniez la raison. Elle est malgré elle à la recherche de reconnaissance et d'affection.

Obéissante et relativement influençable elle n'as pas de réelle notion de ce qui est bien ou de ce qui ne l'est pas. Elle à encore besoin d'être éduquée à ce sujet. Elle demande beaucoup de patience et d'attention cela dit elle rend volontiers tout le temps qu'on lui à consacré.

Une histoire à nous conter?

Les rebelles que nous contenions depuis l'année précédente sont finalement rentré au palais au cours du mois de janvier. Le Seigneur Wei que je servait à été décapité et nous autres ninja à son service avons été pris pour cible nous avons du fuir. J'ai abandonné mon rôle de protecteur du peuple pour un poste mieux payé mais tellement plus difficile dans ce laboratoire dans la ville de Kouki. Je garde et protèges les secrets qui voient le jour entre ces murs sombres mais honnêtement si j'ai commencé à  écrire ce journal c'est que je ne peu pas garder pour moi ce que je vois tant c'est douloureux.

Le Docteur Kojima , pour qui je travaille, s’intéresse à la  génétique. C'est comme ça qu'il y à quelques mois il à fait l’acquisition dans une maison close d'une ville frontalière, d'une prostituée du nom de Birei, enceinte de plusieurs semaines. Il à commencé à lui faire passer toute sortes de produits dans le sang pour qu'elle les transmette au bébé par le biais de celui-ci mais ce que j'ai vu ce jour là …

Il avait endormi la mère pour lui ouvrir le ventre, ouvrir le placenta aussi pour atteindre le fœtus à quelques semaines seulement du terme.  Il à fait alors les manipulations directement dessus et il y  à avait tellement, tellement de sang. Ses études portaient sur la toxicité de certains batraciens ou poissons marins qui produisaient des neurotoxines puissantes, dangereuses et parfois même mortelles. Mais jamais je n'avais pensé qu'il oserait faire quelque chose de semblable à une petite créature qui n'était même pas encore née.

Le Docteur Kojima est sans nulles doutes fou à lier mais c'est un véritable génie et finalement après qu'il aie tout refermé Birei-san à pu mener à terme sa grossesse. Et j'ai pensé que ce serai une très bonne mère. C'est une femme bien, gentille , aimante et elle avait refusé de se faire avorter tant elle aimait déjà l'enfant qu'elle portait. Mais mon maître à sus changer cela en si peu de temps …

Quand Otoe est née, elle était vraiment minuscule et avait l'air si fragile que tout le monde – le docteur compris- à eu peur qu'elle ne passe pas la nuit. C'était au début du mois de mars. Comme on ne savait pas qui était son père j'ai donné mon nom à sa naissance. Pour qu'elle aie une famille. Je ne sais pas pourquoi mais Birei-san à pensé que c'était important.

Tanaka Otoe, à passé la nuit et les suivantes avec succès mais sans un seul pleur. Un examen nous à finalement prouvé que ses codes vocales ne s'étaient pas développées et qu'elle ne pourrais jamais parler. Mais ça ne changeait rien. Non , ce n'est que deux semaines après sa naissance que tout à basculer.

Birei-san est devenue totalement hystérique et elle rigolait comme une folle elle à saisit un scalpel et à essayé de me tuer, après avoir été finalement maîtrisée elle à retourné l'arme contre elle en riant et s'est tuée.  L'autopsie menée par le médecin révéla qu'elle avait été empoisonnée. Elle avait été trop longtemps en contact avec une toxine qui avait finalement fait brûler ses synapses et l'avait rendue complètement folle.

Une analyse détermina que Otoe avait produit ses toxines. Alors Kojima à placé le bébé en quarantaine, loin des autres enfants, loin de lui.  Elle était manipulée avec une infinie précaution et toujours par des gens recouvert de la tête au pieds de combinaisons hermétiques , de gants, de masques. Et lorsqu'on ne faisait pas de prélèvements sur elle on ne la touchait pas.  Je me suis occupé de la nourrir après que sa troisième nourrice soit devenue complètement paralysée.

Otoe n'as rien fait de mal. Elle n'as rien fait pour mériter cette malédiction mais même moi je ne peux rien faire pour l'aider. Rien du tout.  Je ne peux pas la toucher moi non plus et je ne peux pas la débarrasser de cette capacité. Le docteur Kojima se sert de ces sécrétions pour créer des poisons, des vaccins ...mais il ne se préoccupe pas vraiment de ce qu'il advient d'elle.

Je voudrais...mais je ne peu rien faire. Même si je l'emmenait avec moi, qu'adviendrait-il ? Je deviendrais sans doutes fou et je la laisserai livrée à elle même. Elle est un danger pour le monde extérieur et pour elle même. Il n'existe rien que je puisse faire pour l'aider. Rien rien...

sa place est ici derrière cette vitre en verre.

Et je souffre de devoir garder ça pour moi.
J'ai été frappé de plein fouet par ma propre lâcheté.

Elle se tenait là allongée sur le tapis, le visage tourné vers la vitre sans teint, le regard inexpressif, ses cheveux trop longs éparses autour de son corps comme une sombre auréole, ses membres ballant, une de ses mains reposait mollement près de son visage si clair. Elle se tenait  si parfaitement immobile et silencieuse que le seul signe qui laissait croire qu'elle était encore en vie – ou seulement humaine – était le faible frémissement de sa poitrine lorsqu'elle respirait.

Morte. Elle avait l'air morte . Je savais qu'elle ne pouvait pas me voir depuis son côté de la vitre mais pourtant j'ai été profondément transpercé parce qui se déroulait sous mes yeux. Comme si elle m'accusait silencieusement de tout le mal qu'on lui faisait.

Otoe va avoir sept ans et elle n'as jamais mit un pied en dehors de cette pièce et j'ai acquis la certitude qu'elle ne sais même pas que quelque chose existe en dehors. Comme si le monde en entier se résumait à cette petite pièce étriquée ou elle vit depuis toutes ses années.  Le Docteur Koijima lui apprend à écrire pour qu'elle puisse communiquer avec lui.  Communiquer des choses simples. «  j'ai faim » « j'ai froid » « ça fait mal »... je ne sais pas comment j'ai pu laisser une telle chose arriver.  J'ai honte de moi. Tellement honte d'avoir penser que ça pouvait être une vie pour qui que ce soit au monde.

Le Docteur Koijima lui fait ingérer des poisons. Les toxines qu'elle sécrètes, ou d'autre encore qu'il prélève sur des plantes, des insectes, mais elle est totalement immunisée contre ces derniers. Son sang est un puissant contre-poison. Le plus efficace qu'il connaisse. Il dit que c'est logique, sinon elle succomberait elle-même à ses sécrétions. Elle est donc l'agent actif et l'antidote.  Il dit qu'elle ne dois pas tomber entre de mauvaise mains. Des mains pire que les siennes il précise.

Je vais apprendre à lire à Otoe, lui apprendre plus de mots. C'est important. C'est la seule chose que je peu faire. Je lui parle de sa mère aussi parfois. Ce sont des instants particuliers ou tout à coup elle semble prendre vie, avoir une consistance. Elle m'écoute toujours avec une rare attention et quand elle me regarde j'ai la sensation que je suis la seule chose qui existe réellement sur cette planète. C'est une bonne petite.

Je vais lui apprendre la méditation. Je pense que ça peux l'aider à contrôler ce pouvoir qui grandit en elle, faire stopper cet enferment mais elle n'est pas particulièrement réceptives à mes approches, je crois que, d'une certaine façon je lui fais peur.  Qu'elle m'associe au docteur Kojima et je peu le comprendre. Qu'ai-je fait jusque là pour lui venir en aide ?  N'ai-je pas trouvé moi-même cet isolement parfaitement légitime ?


J'ai pris la route vers l'ouest hier matin sans me retourner.
Je n'ai pas dis à Otoe que je partais ; je ne l'ai dit à personne, on ne m'aurais pas laissé faire. Mais elle, oh comment j'aurais pu lui dire que j'allais l'abandonner ? Elle est fragile. Si fragile et elle à seulement douze ans ! Elle devrais être dehors sous ce soleil brûlant à jouer avec des enfants de son âge. Mais Otoe n'est pas une enfant. Elle n'en à jamais été une, personne ne lui en à laissé le droit. Même pas moi.

Qu'est-ce que j'aurais du lui dire ?
«  te regarder chaque jour me rappelle le monstre que je suis et je ne peu pas le supporter. Si tu savais combien je nous déteste toi et moi ! » ?
Je ne peux pas dire quelque chose de pareil. C'est une vérité partielle, mais il y à tellement plus.  Et Otoe mérite de connaître tout ces « plus » que je ne sais pas exprimer.  La méditation à donné des résultat assez impressionnant au cours des six dernières années et elle arrive de mieux en mieux à maîtriser les toxines qu'elle produit, mais ce n'est pas suffisant pour l'approcher sans précautions. Et je ne pense pas que ça changera quelque chose à sa position.

J'aurais du l'emmener avec moi. On se serai installé quelque part dans un endroit un peu reclus dans une forêt ou personne ne nous aurait dérangés et ou elle aurait pu être libre. Mais je n'ai pas eu ce courage.

Il y à encore du sang sur mes vêtements mais je ne pas m'empêcher de sentir de la satisfaction quand je vois Otoe dormir sur la couchette de la cabine de ce bateau qui nous emmène au loin. J'ai assassiné le docteur Kojima en lui  injectant une forte dose des toxines produites par Otoe.  J'ai poignardé Konno-san. Je ne suis pas fière de ce que j'ai fais. Mais je ne pouvais pas rester sans rien faire.

J'ai laissé Otoe livrée à elle même pendant quatre ans avant de revenir sur mes pas. Comment j'aurais pu continuer à me regarder dans une glace alors que je la tuais de mes propres mains en quelques sortes. Je ne pouvais simplement plus.   Je l'ai prise avec moi et nous avons embarqué à bord de ce bateau.  Il se dirige vers un continent tout de glace ou les pêcheurs pourchassent phoques et baleines.  Au moins il y aura de gens autour au mieux ce sera. Otoe à Seize ans maintenant et j'ai la sensation qu'elle n'a jamais été aussi fragile de sa vie.

Il à été difficile de la convaincre de me suivre mais elle à fini par accepter et pardonner mon abandon. Je pense qu'elle en gardera des séquelles. Je m'en veux tellement....tellement.
mais j'ai l'impression que c'est la première fois de ma vie que je prend la bonne décision. La toute première fois.

J'ai froid, mes poumons me font souffrir le martyr alors que je suis allongé sur un lit couvert de fourrures et de peaux de bêtes , dans une mansarde du Village tout neuf de Kayo. Ils nous ont retrouvés après plusieurs jours de marche effrénée dans le blizzard infini.  Otoe s'était évanouie d’hypothermie et je désespérais de trouver un abris.  Ils nous conduit chez eux, et ils ont réchauffé le corps gelé de ma petite princesse. J'ai perdu connaissance hier et j'ai commencé à craché du sang quand je tousse.

Mais je vais bien.
Otoe est agenouillée à cotée de mon lit. Elle ne me touche pas mais ses grands yeux de nuit sont résolument fixés sur moi. Comme si rien d'autre n'existait. Et je me sens en paix. Peut-être à tors mais cela dit...

Un jeune homme est venu à ma rencontre. Il s'appelle Bunta Mitsutoshi et il semble être le chef de ce hameau au milieux des glaciers, nous avons discuté un peu, mais il m'as l'air d'être un homme bien, tout à fait correct.  Je lui donnera ce journal quand le moment sera venu. Nous avons parlé d'Otoe, je l'ai mis en garde, je lui ai dit qu'il ne devais pas la toucher, la mettre en sécurité le plus possible. Il trouvera ici toutes les informations nécessaire à son propos. Je vais lui laisser la responsabilité de s'occuper d'elle. Otoe est une bonne petite, elle mérite tellement plus qu'une cage en verre cependant ...elle est encore trop instable.


Et puis Kagerou s'était éteint pendant cette nuit là laissant au chef du clan Bunta la responsabilité de veiller sur la poupée qu'il avait subtilisé dans la ville de Kouki , loin, très loin à l'est.  Il avait fait fit des recommandations à son sujet et apporté à le jeune fille l’entraînement Shinobi lui manquait ainsi qu'une plus grande maîtrise de son don. Elle était encore loin de la perfection à ce sujet mais progressait assez rapidement et c'était encourageant.

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