"Kesseldit l'aut' ? Qu'on à qu'à l'tuer pour voir s'il est vraiment mort ?" ◘ Chisame [Terminée]

Takayanagi

Chisame

Informations sur le personnage

• Nom : Takayanagi
• Prénom : Chisame
• Âge : 27 ans
• Sexe : ♀
• Village : Konohagakure no sato
• Clan : Aucun
• Grade désiré : (Le Staff répondra positivement ou non à votre demande)
• Rang désiré : (Le Staff répondra positivement ou non à votre demande)

À quoi ressemble-tu?

Crinière rousse, hirsute et peau claire. D'une nudité parfaite Chisame se déplaça furtivement dans la pièce pour se placer face à la fenêtre. Elle alluma sa cigarette et ne prononça pas le moindre mot. Soufflant un peu de fumée par la bouche elle tourna la tête vers le lit pour y regarder d'un œil morne son compagnon qui faisait semblant de dormir. Elle lui jeta une serviette de bain encore humide au visage le sommant d'arrêter de faire le mort elle l'avait entendu ricaner. Il lui renvoya l'attention laissant paraître sa chevelure tout aussi ébouriffée que celle de sa compagne. Sa peau couverte de tatouage se fondit dans l'ombre alors qu'il se levait pour récupérer son caleçon. Il glissa ses yeux sur la femme qui lui faisait face. Superbe dans son impudeur. Ses yeux d'un bleu-vert intense brillaient de malice et de toutes les conneries qu'elle pouvait envisager de dire. Il adorait ses grand yeux curieux et remplis de vie. Des yeux qui illuminaient ses journée et celles de bien d'autre. Ombrés de lourds et longs cils tout aussi chatoyants que les cheveux de sa rousse. Sa peau claire était parsemée de cicatrice, des blessures qu'elle n'avait pas tenu à soigner. Parce qu'elle n'avait pas le temps ou qu'elle « trouvait ça cool ». il n'avait pas cherché à comprendre ce qu'elle pouvait trouver de sympathique à la situation. Pour tout dire, il s'en moquait.

Chisame était de ces femmes décomplexée et impudique, tapageuses et superbe. Elle avait un beau visage c'était vrai mais la beauté qu'elle dégageait était bien plus qu'esthétique. Elle dégageait quelque chose de fascinant. D'autoritaire et de souple ; un genre de force tranquille. Perchée du haut de son mètre soixante quatorze elle était bien plus grande que la plupart des femmes. Un peu ronde, avec quelques kilos en trop. Pulpeuse. Elle avait des hanches larges, une poitrine opulente et un dos large. Une femme pleine. Déesse de la fertilité. Ses grandes mains possédaient des doigts fins, agiles mais rendues un peu calleuses par l'usage des armes et le combat. De bonnes jambes et des bons muscles. Son corps avait été sculpté par des années passées à l'entraînement et sur le terrain. Elle en riait beaucoup , se frappant sur les abdominaux comme lui-même l'aurait fait. Elle était d'une rare souplesse, même pour un ninja et en dépit du fait qu'elle soit une femme elle possédait une force de frappe remarquable. Elle était fabuleuse au corps à corps. Bien plus que lui.

Un peu garçonne, elle prétendait que sa poitrine était sa meilleure attaque. Enfin contre les homme en tout cas. Ça la faisait rire ; Il adorait son rire. Sa voix en général. Un timbre chaud, un peu grave pour une femme mais délicieuse ; presque érotique. Oh, ça oui comme un fleuve de miel dans le désert. Il y avait sa façon très fluide de se mouvoir, trais claire et silencieuse ; comme un fauve en chasse. Comme si dans une autre vie elle en avait été un. Si c'était possible en tout cas. Elle avait du être un lion féroce. Elle en avait l'allure, la grâce et la voix qui porte. Et puis il y avait cette sensation de puissance physique qui émanait d'elle. Un port droit, fier. Chisame était de ses femmes qui se savaient belles, attirantes et qui en jouaient beaucoup. Elle avait les lèvres pleines, peut-être trop pâles mais il s'en foutait il les aurait dévoré à longueur de journée. Elle avait un visage qui rayonnait. Rayonnait d'un millier d'expression. Des milliers de sourire. Des sourire heureux, amusés, moqueurs. Sa clope au bec mais toujours ravie. Ses cheveux longs vaguement attachés. Et puis elle sentait la cannelle. La cannelle de ses cigarettes. Minauderies, moues d'enfants.

« • C'est pas un peu tôt, mon Capitaine pour te tirer en douce ? »

Elle plissa le nez et attacha ses cheveux en une queue de cheval lâche se rhabillant plus ou moins.

« • C'est quatre heures du matin, j'm'tire pour une mission. On à repéré une cible. Flemmarde pas trop toi tu décolles à sept heures et je veux que la baraque soit parfaitement rangée à mon retour. »

Il lui adressa un bras d'honneur et elle éclata de rire, se détournant de lui pour chercher quelque chose d'essentiel. Elle ronchonna parce qu'elle ne trouvait pas.

« • C'est ça que tu cherche ? »

Il lui balança son katana et elle le rattrapa au vol. Avec un dernier signe de main elle s'effaça.

De l'intérieur, comment es-tu?

Il y eût un bruit de verre brisé et un hurlement hystérique. Takayanagi Chisame, les pieds négligemment appuyés sur la table, rentra sa tête dans ses épaules tentant d'avoir l'air plus ou moins détaché de la situation. Naturellement elle ne décrocha pas un regard assassin à son équipier qui l'interrogeait silencieusement des yeux.
« • Quoi ?! »
« • Qu'est ce que t'as encore fait ? »
« • Pourquoi tu pars toujours du principe que c'est forcément ma faute ? »
Il ricana sans méchanceté.
« • Parce que franchement, Chi' , c'est statistiquement impossible que ce ne soit pas le cas. »

Elle décida de se taire.
Chisame était doté d'une incroyable mauvaise foi et avait toujours été une très mauvaise perdante. Que ce soit contre les autres, ou contre sa propre personne. C'était sans doutes pour cette raison qu'elle était si purement acharnée à un point qui frôlait le ridicule. Elle n'acceptait pas les compromis et lorsqu'il était question de victoire elle savait se montrer particulièrement efficace. Elle possédait une volonté hors du commun et à toute épreuve on disait que dans ces cas la, la femme la plus flemmarde du village du feu pouvait devenir l'un des ninjas les plus dangereux des alentours. Capable de briser des montagnes, de réduire en miette la moindre parcelle d'autorité.

C'était une femme simple disait-on.
Parce qu'elle était plus le « bon copain » que la cheftaine, parce qu'elle buvait et fumait beaucoup trop et qu'elle riait bruyamment.Le rire facile et le cœur sur la main pour le bon comme son contraire. Ce n'était pas qu'elle pensait à mal mais elle avait cette facilité à dire toute ce qu'elle pensait voix haute et sans le moindre tact. Un manque de délicatesse qu'on aurait trouvé adorable chez un enfant mais qui avait tendance à irriter venant d'une adulte. Elle était connue principalement pour être une fonceuse. Le genre de personne qui ne réfléchissait pas et ne suivait que trop rarement le plan établit. Bénits soient les Kamis, elle possédait une chance presque miraculeuse. Elle avait effectivement un don manifeste pour improviser et se tirer des pires situations. Situations qu'elle avait bien souvent provoquées par ailleurs.

Il était vrai qu'elle n'était pas une érudite mais de reste elle n'était pas particulièrement stupide, au contraire. Son sang chaud l’empêchait seulement d'agir en conséquence. Pour autant elle possédait un genre de génie instinctif qui la rendait absolument redoutable et une trop bonne mémoire pour son propre. C'était sans doutes pour cette raison que les autres acceptaient de suivre ses plans même les plus vaseux. Parce qu'elle ne s'était jamais plantée ou si peux. C'était une femme sociale et vive avec un cœur gros comme le monde et qui vivait pour travailler en équipe peu importe combien elle était brouillonne ou bordélique. C'était une équipière, une amie sur laquelle on pouvait facilement compter. Peut-être parce qu'elle avait l'air d'être si simple et si sincère. Elle n'avait jamais laissé personne derrière.

Pour ceux qui la connaissait il était évident qu'elle n'avait pas été érigée dans la même glaise que ses semblables. C'était un diamant à l'état brut. Sans raffinement et plutôt vulgaire mais indestructible elle avait vu la guerre avaler comme une catin la foule de ses proches mais elle n'en avait été ébréchée. Que plus forte. Elle possédait un mental si profondément infaillible qu'elle en était parfois terrifiante. Pourtant elle pensait qu'elle avait le droit de pleurer si elle le voulait et de rire si elle en avait envie, ce qu'elle faisait sans retenue. Mais ça ne changeait rien à sa façon d'être. D'une aisance vis à vis de ses supérieurs qui frôlait l'insubordination mais qui se soldait toujours par une réussite. Capricieuse et entêtée. Elle possédait un charme féroce et un charisme certain, cette capacités innée à se faire aimer de son entourage. Idole des enfant et tête brûlée de la bande de copains elle n'était pas proprement féminine mais il y avait quelque chose de touchant dans son impudeur.

Sans gène et intrusive.
Elle ne donnait pas à moitié dans ses sentiments. Elle aimait profondément et haïssait avec tout le feu et la passion des dieux réunis. Le pardon facile et la rancune tenace. Elle savait apprendre de ses erreurs et acceptait facilement de réparer ses erreurs. Profondément juste et droite, elle possédait un genre d’incorruptibilité qui faisait d'elle un inébranlable pilier de la communauté. C'était le genre de femme qui vous disait de la fermer quand vous disiez un mot de trop ou qui vous collait son poing dans la figure parce que vous la regardiez d'une façon qui ne lui plaisait pas. Ancrée dans ses valeurs dans un esprit de franche camaraderie, si elle avait la guérilla facile on vous aurait dit qu'elle n'avait pas une once d'agressivité. Elle était le genre qui pensait qu'une bonne bagarre valait toutes les discutions stérile du monde, empotée et expansive elle avait une façon bien à elle de présenter les choses.

Étrangement philosophique par instant, Chisame avait toujours été douée avec les mômes. Peut-être parce que quelque part elle en était encore une . Elle était la première à faire des bêtise avec eux et à leur accorder du temps pour leur apprendre ce qu'elle savait. Et les gosses l'adoraient. C'était un très bon pédagogue faisant alors preuve d'une patience insoupçonnée. D'une rare humilité elle savait comprendre le cœur des gens avec une facilité déconcertante. Si elle était principalement d'une bonne humeur et d'une joie de vivre délicieusement contagieuse – un optimisme à toute épreuve – ses crises de colères étaient légendaires dans le village et en principe on évitait de s'y frotter.

Une histoire à nous compter?

– 0 –

« Il faut sauver Obata Takeshi »

Il y à peu de traditions qui se transmettent de génération en génération dans ma famille. Personne ne sais vraiment si elle à toujours été implanté dans notre village côtier ou bien si elle est arrivée d'ailleurs. Certains disent qu'elle a été fondée par deux déserteurs qui étaient venus se réfugier ici-bas pour échapper à leurs poursuivant. La place du leur plaire parce que mes grand parents, mes parents et moi-même sommes nés et avons grandis ici. Enfin, malheureusement pour moi, nous vivons dans un monde ou le statut social ne peu pas être transgressé c'est ainsi que comme mon père l'avait été avant moi, et son père avant lui, je suis devenu shinobi. J'aurais préféré devenir marchande ou actrice, mais je n'ai pas eu le choix. Dans ma filiation il était écrit que je devais devenir ninja. Étant donné que mon père n'as eu que des filles je suis devenue son « premier fils ». Fâcheusement, pour moi, j'étais doué. C'est à dire que si j'avais été mauvaise on m'aurait sans doutes laissée arrêter, mais comme ce n'était pas le cas j'ai fêté ma fin de scolarité en me faisant tatouer un grade sur le bras puis je me suis entraînée et je suis parti faire la guerre.

Comme la plupart des jeunes de mon âge je dois dire. À cette époque nous étions en guerre avec un village rival qui à, par la suite été complètement rayé de la carte. Ce qu'on ne dit pas, c'est que quant on fait la guerre, on s'emmerde. On vit dans ses camps, tout le monde avait fuit le village, même les civils parce que comme sa position avait été repérée c'était devenu trop dangereux. Donc on vivait dans un campement de fortune qu'un maître de fuinjutsu avait dissimulé derrière une cascade. Goro-san était très doué pour ça. Pour se cacher. C'est peut-être pour ça que après la guerre on l'a pas retrouvé. Il s'est sûrement planqué quelque part. Les batailles c'était pas trop son truc faut dire. Personnellement je crois pas que ce soit le truc de quelqu'un en particulier, mais l'expérience m'a prouvé le contraire. En attendant, pendant qu'on se planque son se fait royalement chier. Les grands manitous de la bande se planquent derrière un grand rideau et ils discutent de stratégie. Pendant ce temps là, nous on joue. Aux dès, aux go ...aux cartes aussi parfois. Après cette histoire nous avons décidé de nous installer à Konoha. Je ne sais pas pourquoi. Mon père racontait quelques foutaise à propos d'être des ninja au milieux de Ninja et de la circulation positive des énergies.

Mais je crois que je devrais débuter mon histoire parce qui m'a amené à cette situation pour commencer. Pas devenir Ninja, non ça c'était mon père. Je veux parler de la situation « Il faut sauver Obata Takeshi ». Je pense qu'on pourrait appeler ça « punition divine » parce que, pour commencer, rien de tout ça ne serait arrivé si j'avais accepter de partir avec l'équipe 4 pour tabasser quelques renégats dans les forêts alentours. Je me suis donc trouvée être la seule restante au village avec un rang assez élevé et un emplois du temps assez vide pour diriger cette mission. C'est de cette façon que je me suis retrouvée avec la pire bande de bras cassé que le village aie jamais porté et cet espèce de riche bourgeois de dieu seul sais quel ville de péquenauds un peu plus au nord. Obata Takeshi est noble et riche. C'est pas un type comme nous, comme il l'a si bien fait remarquer et s'il à quitté sa ville natale c'est pour rencontrer sa fiancée. Jusque là tout était parfait. Naturellement, il à fallut que l'un d'entre eux ouvre la bouche.

Je veux dire l’orgueil c'est bien. Parfois. Mais pas cette fois.
Je tiens à dire pour ma défense que, pour cette fois, ce n'était pas ma faute. C'est Kôsuke qui à frappé le premier. Sur le client en plus. Je ne dirais pas que l'autre ne l'avait pas cherché mais, même moi, je sais qu'il y à des choses qu'on ne doit pas faire. Je ne sais pas à propos de quoi ils se disputaient mais suite à quoi – ainsi qu'une apparente négligence de ma part – nous avons perdu l'objet de notre mission. C'est con hein ? Alors je sais ce que vous vous dites : c'est entièrement ma faute. Certes. Mais je pensais qu'il était plutôt logique pour une petite créature sans défense de rester aux côtés de ceux qu'il à payé – au prix fort en plus – pour le protéger, non ? Je ne penserai pas que ce serai lui qui nous fausserai compagnie.

Bref. Il était parfaitement logique que je finisse par abattre mon poing dans ce qui tenait lieu de paroi frontale à ce crétin fini de Kôsuke. Ce qui à amené à un autre problème. À savoir qu'un Ninja assommé et un homme hors d'usage et que malgré le fait qu'on ne peu pas abandonner un camarade il est totalement exclu de faire échouer la mission. J'ai donc décidé que la troisième-roue-de-notre-carrosse resterai avec le blanc-bec assommé pendant que je partirai à la recherche d'Obata. J'aurais du me douter que c'était forcément une mauvaise idée.

Les types qui le haranguaient sans vraiment savoir s'ils avaient quelque chose à en tirer en ont déduit que si en voyant le ninja que je suis attaquer. Et voilà de qu'elle manière je me suis retrouver à pourchasser précisément les types que je voulais éviter afin de récupérer notre client.

Je crois que je ne peu pas expliquer combien j'aurais préféré suivre l'équipe 4 tout compte fait.

– II –

« • Arashi-san ? Arashi-san ? »

Le garçon secoua vivement l'épaule de son instructrice mais elle ne réagit pas. Affalée ivre morte sur une des tables en bois de la taverne éponyme elle dormait du sommeil du juste sans se préoccuper de lui ou du spectacle qu'elle offrait. Deux mains frappèrent avec vigueur la table pour tenter de la faire bouger.

« • Oï ! Chisame ! »

La grosse voix de Mabuchi Yô, partenaire de cette dernière depuis près d'une décennie parvint à la faire émerger brutalement. Elle se mit debout avec une rapidité qui aurait été absolument extraordinaire si elle n'avait pas lamentablement trébuché pour s’effondrer contre son plus vieil ami. Avec un sourire désespéré il la souleva pour la porter sur son dos faisant signe à leur jeune poulain de bien vouloir le suivre. Tanaka Shota avait dix-sept ans et , désormais libéré de l'autorité de son professeur d'académie il tentait d'apprendre le Taïjutsu aux cotés d'une des personnes les plus compétentes du village.

« • J'ai vraiment du mal à croire qu'on ai pu demander à quelqu'un comme elle de devenir Anbu. »

Il cracha avec colère se demandant comment cette femme – qui avait pourtant refuser le poste – pouvait jouir d'une telle notoriété au village. Elle était souvent ivre, impudique, irresponsable et proprement invivable de son point de vue. Il avait regardé Mabuchi la coucher sur son divan avant de quitter son appartement.

« • Que crois-tu qu'elle ai fait toutes ses années ? Elle n'as jamais connu que la guerre. Pour toi qui à toujours vécu dans la paix c'est abstrait mais elle à pris l'habitude de croire que demain elle va peut-être mourir. Elle boit trop c'est vrai mais même si elle semble être forte comme un roc, elle a vu des choses qu'elle ne pourra jamais oublier. »

C'était la vérité.
Takayanagi Chisame était arrivée en plein milieux de la guerre que menaient alors les ninja qui formeraient un an plus tard le Village de Konoha. Elle avait alors treize ans , jeune Chunin, elle arrivait d'un autre terrain de guerre tout aussi cruel et violent. S'il s'en souvenait si bien c'était parce qu'elle avait un regard totalement enflammé. Un feu féroce l'illuminait et il avait compris que cette adolescente voulait vivre plus que n'importe qui d'autre sur ce champs de bataille. Il ne lui avait pas fait confiance immédiatement, parce qu'elle était une femme d'abord – et ensuite parce qu'elle venait de loin. D'un village civile ou elle avait fait partie de la milice privée du seigneur local. Comme son père avant elle et le père de son père .

Il l'avait défiée sur le camps de repos, un jour d'accalmie dans les conflits. Et elle avait répondu avec une telle rage dans ses attaques qu'il s'était senti acculé. Elle avait une Puissance de frappe au moins deux fois supérieure à la sienne. Et elle l'avait aplatit avec une telle jubilation du travail bien fait qu'il en avait eu honte pendant des mois. Trois ans après la création du village elle avait été nommée Juunin et avait été félicité pour ses coups d'éclats pendant la guerre et l'aide qu'elle avait pu apporter lors de la construction des murs d'enceinte.

On murmurait qu'elle intégrerai bien vite l'Anbu mais la paix revenue elle montra le visage d'une femme fainéante et fuyant toute charge trop importante de travail. Elle se définissait comme personnage sans talents mais dotée d'une rare chance pour échapper à la critique. Dire qu'elle perdait de sa superbe n'aurait pas été totalement juste. Mais c'était ainsi qu'elle se se montrait. Ivre et bon vivant. En dehors de son temps de travail elle ne témoignait pas de cette aura et de ce panache qui l'illuminait lorsqu'elle combattait. Pourtant les résultats parlaient d'eux même et personne dans le village, personne qui la connaissait un temps soit peux n'aurait eu l'audace de la dire incompétente.

Elle avait ses vices.
Sa capacité hors norme à mettre un bazars sans noms partout ou elle passait lui avait valu le sobriquet d'Arashi, « La tempête de Konoha » mais c'était peut-être pour cette raison qu'on l'appréciait tant. Parce qu'elle était forte comme un homme et parfaitement capable mais qu'elle restait une femme simple en dehors de toute considération.

– III –

Takayanagi Genzaburo, assis en tailleur au centre du salon, posa un regard sur sa femme qui tenait dans ses bras leur bébé. une troisième fille. Ses yeux verts glissèrent ensuite sur son aînée, Chisame – 9 ans – pour se poser sur Chigusa, laseconde – 7 ans – avant de pousser un soupire à fendre l'âme. À la naissance de sa seconde il avait décidé que Chisame serait celle qui suivrait la tradition et deviendrait ninja pour suivre les traces de son père mais il avait espéré pouvoir la sortir de là . Seulement sa femme ne lui donnait pas de fils.

Chisame était sortie de formation cette année là et commençait peu à peu à prendre ses marques dans la milice. Elle n'avait pas déclaré la moindre affinité comme lui avait pu le faire ou comme c'était le cas de la plupart des autres enfants cependant elle faisait preuve d'une telle force physique et d'une capacité hors normes pour le combat rapproché que nombreux étaient ceux qui se méfiaient d'elle et de ce qu'elle risquait de devenir à par le futur.

Chisame était son fils.
C'était sans doutes pour cette raison qu'il avait eu tellement de mal à digérer les changement de son corps à la puberté la rendant immanquablement plus femelle que jamais. Pour autant elle ne s'était jamais plainte, n'avait jamais agis en fille mais toujours en soldat parfaitement dresser pour survire et mener à bien ses missions.

Et puis ils étaient arrivés à Konoha elle avait grandi, rencontré d'autres personnes de son age et la paix l'avait plus ou moins délivrée révélant une femme aux mœurs un peu douteuses et savourant avec le sourire la naissance de Chieko, la dernière fille de la fratrie.

Elle avait commencé à s'accepter en temps que fille un peu avant ses vingts ans et bien qu'elle resta principalement garçonne elle était dépeinte comme une belle femme , bien de sa personne et délicieusement vivante.

– IV –

Affalée dans le canapé, Chisame, fit semblant de ne pas entendre les bruits de pas et le son de la porte qu'on déverrouillait. En fait elle se demandait pourquoi les gens continuaient de fermer leurs portes à clef puisque ça ne l'avait jamais empêchée de s'introduire chez eux.

Silencieuse comme jamais elle compta le nombre de pas et à leur son détermina que le propriétaire était en bonne santé. Elle se redressa et s’installa à califourchon sur le dossier du divan pour regarder l'homme qui avait fait irruption dans son champs de vision. Sa présence ici n'était pas vraiment une surprise, l'inverse eût plutôt était inquiétant. Elle le suivit des yeux sans un mot alors qu'il s'affairait dans la pièce, puis décida de se lever. Elle s'étira comme un chat et récupéra les vêtements qu'elle avait pu laisser traîner au cours des quelques jours qu'elle avait passé là sans l'accord du propriétaire.

« • Bon retour ! Oh , et...Nachan ! J'ai laissé des champignons vénéneux dans ton frigo alors les mange pas et aussi, y'a plus de saké! »

Elle lui offrit son plus beaux sourire, tira la langue et quitta l'appartement pas la porte comme si ça avait été tout naturel. C'était comme ça que les choses se déroulaient depuis des années et même une guerre totale n'aurait pas réussi à changer cette routine trop agréable.

Ton clan

L'histoire de votre clan. Vous pouvez écrire autant de lignes que vous le souhaitez.

Toi, derrière ton ordinateur, qui es-tu?

Ces informations sont facultatives! Mais ne te prive pas d'y répondre, c'est toujours utile, et c'est plus convivial

• Ton âge : 19 balais et des poussières
• Ton prénom : Comme il vous plaira (o/
• Ta ville (ou ton village, campagnard ) :
• Comment as-tu trouvé notre forum? : Par le biais du top-site d'un partenaria d'un forum partenaire à celui ou je traine ! (o/ (c'est clair ...?)
• Que penses-tu de celui-ci? : Je réserve mon avis pour quand les choses bougerons
• Changerais-tu quelque chose? Si oui, quoi? :
• As-tu déjà RP? : Ouep (o/
• Autre chose : ~~Très franchement je serais trop ravie de vous convertir tous au culte de ma personne ! (o/~~

Bienvenue! J'attends la suite de ta fiche avec impatience, et bah voilà quoi :p

Merci !
Au plaisir de ne pas te décevoir~
j'en profite pour uper car j'ai terminé !

Je valide cette fiche grade Junin de rang A, je laisse Nake confirmer et te mettré couleur et grade, je me charge du rang en revenant!

Je valide aussi Juunin de rang A. Belle présentation avec quelques fautes pas très grave (étourdi va), tu as gagné à mon jeu des cinq mots et *^* je suis présent dans ton histoire.

» Et par le pouvoir d'un mot je recommence ma vie, je suis née pour te connaître, pour te nômer : Liberté ! ◘ Lilith
» Mise en place d'un centre marchand, "La mort n'a pas de mémoire." [Ft. Sentetsu]
» Modèle pour les demandes de RP. À RESPECTER!
» Modèle pour créer une technique
» Modèle pour création de prédéfinis

"Kesseldit l'aut' ? Qu'on à qu'à l'tuer pour voir s'il est vraiment mort ?" ◘ Chisame [Terminée]

"Kesseldit l'aut' ? Qu'on à qu'à l'tuer pour voir s'il est vraiment mort ?" ◘ Chisame [Terminée]

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