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 Un homme et des bêtes

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Date d'inscription : 29/08/2014
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Sesshomaru
Sesshomaru
Anbu Rang A
MessageSujet: Un homme et des bêtes   Un homme et des bêtes EmptyLun 22 Sep - 1:28

UN HOMME ET DES BETES



Un homme et des bêtes 1220172800552957122t

L'heure était venue. Après trois jours où je tournais en rond, il fallait que je m'occupe. Je sortais de chez moi pour me diriger vers le bar de Kayo qui se prénommait "Le givré". Un nom qui ne reflétait pas la chaleur de l'alcool que l'on buvait à l'intérieur. Le froid environnant me piquais le visage et le vent cinglait tout sur son passage. Une fois arrivée devant ce bar, la porte s'ouvrait en laissant partir deux femmes d'une grande beauté et je rentrais à mon tour. À l'intérieur, tout était bien éclairé, les verres propres et transparents et les tables d'une propreté impeccable. Ce bar ne valait pas les tavernes des autres villages où j'avais pu voyager, il était beaucoup plus propre et soigné que les autres. Je commandais un verre de saké et c'est en m'asseyant sur une chaise que j'apercevais non loin de moi, une femme habillée très légèrement me rejoindre. Une prostitué ou une femme facile, voilà ce qu'elle était.
Elle s'asseyait à côté de moi et me lança un regard mielleux. Je n'y prêtais vraiment aucune attention, la seule femme pour la-quel j'aurais de l'affection était ma femme décédée, Rukia. Elle commençait à me parler en me contant sa vie et bien sûr l'une de ses mains était sur ma cuisse. Ces filles de joies m'insupportaient vraiment, elles s'offraient aux premiers inconnus pour de l'argent ce qui était vraiment déshonorant pour elles. Sa main sur ma cuisse remontait de plus en plus de manière très lente.

(Tu te laisses faire, je te pensais plus stricte et plus féroce, j'ai dû me tromper.)

Je tournais la tête pour la regarder et elle me donna un grand sourire aguicheur.

- Que venez-vous de dire ?

Je la regardais d'un regard noir, car si c'était elle qui avait dit cette phrase, cette femme aurait fait une grave erreur.

- De quoi ? Ah comme quoi, vous avez une très belle tenue et que c'est très pratique pour donner chaud.

Ce n'était donc pas elle. Mes oreilles avaient dû entendre les paroles de gens qui passaient par là et que je n'avais pas remarqué. Chose qui était plutôt difficile à imaginer, car je regardais tout ce qui se passait dans cet établissement et rares, étaient les choses qui m'échappaient.

(Tu ne comprend pas, n'est-ce pas ? Ecoute moi, je sais qui tu es, ce que tu cherches à faire. Donc rejoins moi au pic éventée le plutôt possible. Je te guiderais.)

Les voix, les mots, tout était dans ma tête. Devenais-je fou ? Non ce n'était pas possible, la cause de cette hallucination était là, sous mon nez. Je prenais la main de cette femme et l'examinais de très prêt. Elle me regardait très radieusement, pensai-t-elle qu'elle avait réussi et qu'elle allait toucher mon argent.

- Vous vous fourvoyer, arrêtez ce visage qui ne fait que me faire qu'accentuer ma colère. Je ne ferai rien avec vous. Que m'avez-vous fait ? Où se trouve la seringue ou l'aiguille ?

La femme montrait un visage totalement perdu et qui ne comprenait pas ce que je disais.

- Si vous ne vouliez rien avec moi, il fallait me le dire. Au lieu de faire le psychopathe


Apparemment, elle était innocente. Que m'était-il arrivé ? Devenais-je fou ? Non, ce n'était pas possible. Il y avait quelque chose d'anormal là-dedans. En y repensant, j'avais entendu un lieu " le pic éventé ", où est-ce que ça se trouvait ? Tant de questions sans réponse qui tournait dans ma tête, car c'était bien la première fois qu'un tel phénomène se produisait. Je décidais de rentrer chez moi et me coucher, ça devait être la fatigue la véritable cause.

(NON, le Pic éventé, de suite, ou tu perdras ....)

Voilà que ça me reprenais et ce lieu le pic éventé était encore prononcé. Je décidais donc de rentrer non pas pour me reposer, mais pour m'armer rapidement. Ce qui m'arrivait pouvait être un jutsu, il fallait donc que je m'équipe au cas ou tout ceci soit un piège.

(Pas d'arme, nous ne te voulons aucun mal, seulement discuter.)


Décidément, tout ceci était de plus en plus étrange. Cette voix savait exactement ce que je faisais et par grand étonnement, je décidais de l'écouter. De toute manière, même si je n'ai pas de Kunai, il me reste mes jutsus. Je partais donc de mon lieu d'habitation bien chaud pour sortir par cette grande porte donnant lieu sur le désert de glace. Grâce à cet emplacement, les gardes qui se trouvaient en haut des postes de surveillance avait une vue sur toute la zone et la moindre intrus était repéré rapidement. Une immense surface blanche s'étendait devant moi et j'entreprenais la marche en ne sachant pas combien de temps cela mettrait.
 
(A droite, prend en direction de deux heures. Et tout droit jusqu'au fossé. Ne dévie pas du chemin.)


(Prendre direction deux heures, cela voulait dire que je prenne légèrement sur ma droite.)

Voilà, j'étais partie pour un nouveau voyage. Une traversée des étendues du désert de glace et par la suite d'autres paysages que je ne connaissais probablement pas. Je m'avançais dans ces lieux pourtant inhospitalier pour le genre humain afin de rejoindre une voix qui m'appelait de la profondeur du continent gelé éternellement. Plus j'avançais vers ma destination inconnue, plus le froid était présent. Si bien que malgré ma grosse écharpe en poil d'ours, la fraicheur environnante faisait baisser ma température corporel.
La marche était longue et difficile, la neige rendait le déplacement dure et la glace me faisait glisser par moment. Les paysages que j'avais sous les yeux m'étais inconnus, c'est alors que je pensais que j'avais fait une ânerie que d'écouter une simple voix dans ma tête. Le trajet était lancé et j'avais toujours des paroles qui m'arrivaient dans mon esprit pour m'indiquer par où passer. Une tempête de neige se profilait devant moi.

(Il ne manquait plus que ça.)

La traversée n'était pas suffisamment compliquée qu'en plus j'allais entrer dans une tempête glaciale. Quelques minutes se passaient et j'entrais dans ce déluge neigeux. La densité de ce vent enneigé était tel, que je ne voyais pas à plus de quatre mètres devant moi. Je marchais à l'aveugle dans un lieu que je ne connaissais pas, un lieu qui est dit mortel par les nomades qui osent passer par là. La tempête cinglait mon visage et poussait mon corps par moment que je manquais par moment de tomber dans des crevasses où on ne voyait pas le fond. Les crevasse était de plus en plus présente au fur et à mesure que j'avançais dans sur ce sol désolé et il fallait que je fasse plus attention à ne pas tomber là-dedans. Le bruit de mes pas était différent, plus creux. En effet, quelques mètres plus loin se trouvait un fossé de taille impressionnante.

(Bien, tu as trouvé le fossé. Maintenant, tu passes de l'autre côté et tu vas tout droit jusqu'au pic.)

Ça me reprenais, une fois de plus. Je devais donc passer de l'autre côté. Comment j'allais faire pour y arriver ? Le trou était large et tellement profond que je ne voyais pas le fond. Un gros problème ce dressait devant moi.

(Toi, celui qui me parle, comment dois-je faire pour traverser ? C'est immense comme trou, sauté est impossible et passer par le fond est infaisable aussi.)
 
J'attendais une réponse, mais bien sûr après trois minutes aucune voix ne me répondait. Je cherchais allant et venant de droite ou de gauche. Il n'y avait absolument rien pour traverser cette monstrueuse crevasse. Je devais trouver un moyen de dépasser cet obstacle qui me barrait la route vers cet objectif inconnu. Je réfléchissais à tous les moyens possibles, mais rien ne me semblais réalisable et cela commençais à m'énerver.
Une rafale de vent s'éleva et déposa de la neige en plein milieu du vide. Les particules blanches se retrouvaient suspendus dans le vide, sans même bouger. Ce n'était pas naturel tout ceci et je m'approchais un peu sur le rebord de la crevasse. Des pierres étaient à même le sol et en saisit une dans la main pour la jeter vers la neige suspendu. À mon étonnement, la pierre ricochait dans le vide et roula jusque l'autre côté de ce précipice.

(Un pont ! Un pont invisible, je n'en ai jamais vu, ni même entendu parler. )

Le problème était réglé, il fallait seulement que mais je fasse attention à ne pas tomber lors de ma traversée. Je prenais quelques pierres avec moi et j'entamais la traversée effrayante et au fur et à mesure que je progressais sur ce pont, je plaçais des pierres derrières moi pour ne pas le perdre lors de mon retour. Une fois de l'autre bord de ce ravin, je déposais toutes les pierres sur la neige devant ce pont, au cas où celles que j'avais positionné dans le vide viennent à tomber à cause du vent.

(Très bien, je ne pensais que tu y arriverais. Pour la suite, c'est très simple. Tu n'as que te souvenir de ce que je t'ai dit. )


Encore la même voix roque qui me parlait, c'était certain désormais, tout ceci n'était pas une hallucination. Bon, il fallait que je me souvienne des indications qui m'avaient été donnés. Après deux ou trois minutes de réflexion, il me semblait que cette voix m'avait dit d'aller tout droit. La direction n'était peut-être pas sûr, mais je faisais confiance à mon instinct. C'était repartit pour une nouvelle marche dans cette neige poudreuse, bien collante et qui me fatiguait vraiment. Comme si cela ne suffisait pas, le vent combiné à la neige, continuait de me suivre après ce ravin. Les conditions météorologiques de cette région était vraiment infernale et dénué de sens. Marchand encore et toujours, je croyais voir des ombres par de la les bourrasques de vent enneigés. Ce devait être mon imagination, car jusque là, je n'avais pas vu ne serait-ce qu'une once de civilisation. C'est après des heures de marches que je me retrouvais face à une grande structure naturelle de glace bleue électrique. C'était vraiment magnifique, je ne m'extasiais pas souvent sur les choses, mais là il fallait bien avouer que c'était d'une grande beauté. Les cristaux de glace se croisaient les uns contre les autres, certains petits, d'autres très grand.

Une ombre s'élargissait dans le vent et en arrivant près de moi, un loup d'une blancheur qui égalait la neige se présentait devant moi. Il grognait et d'un coup, il hurlait à la lune. Une horde d'autres loups similaires arrivèrent pour m'encercler quelques secondes après ce cri lourd et imposant. J'attendais droit et sûr de moi, je savais qu'une bande de loup mal lécher ne m'opposerait pas vraiment de résistance, car des combats bien plus dangereux m'étaient arrivés. Le seul risque qui pouvait m'arriver était d'être mordu, alors ces loups ne m'effrayaient pas vraiment.
D'un moment à l'autre, la bande courrait dans ma direction en grognant. Je me préparais à cette attaque en me mettant sur mes gardes. Le premier loup m'arrivait dessus et je le saisis par le cou en le renvoyant voir ses congénères. Il fit un petit cri de douleur lorsqu'il tomba  pour continuer à glisser sur le sol enneigé. Le deuxième arrivait par derrière, c est du coin de l'œil que je l'aperçus et d'avoir juste le temps de me penché en avant afin de l'esquiver. Un troisième tentait sa chance. Celui ci attaquait sur le flanc gauche et l'éviter était impossible. Il me sauta dessus et à cause de son élan, je tomba au sol, la bête sur moi en essayant de me déchiqueter le visage. Pour éviter qu'il n'arrive à ses fins, je lui bloquait la mâchoire de mes deux mains en le forçant à la fermer.

( Bon ! J'ai vu ce que je voulais voir. Suivez-les.)

La bande de bête se rapprochait de moi dangereusement et mon attention sur leurs mouvement étaient de plus en plus grande au fur et à mesure qu'ils approchaient. L'un deux me sauta dessus sans même avoir un seul grognement, bien au contraire un couinement l'avait remplacé. Il se blotti contre ma personne à ma grande surprise puis en saisissant mon bas de kimono, il essayait de m'entrainer vers les blocs de cristaux bleus électriques.
Une fois à l'intérieur, tout était éclairé par une source de lumière qui provenait d'un lieu inconnu. Une ambiance de la même couleur que celles des cristaux envahissait les lieux. Les loups m'entouraient afin de me mener à un endroit précis dans cette structure naturelle et malgré qu'ils ne montraient plus aucun signe d'agressivité, je restais néanmoins sur mes gardes. Qui sait ce que j'allais découvrir ? Une pièce ronde recouverte d'une neige très dur me faisait face et au loin encore un autre loup. Celui-ci devait être le chef étant donné qu'il n'avait pas pris part à l'embuscade. Je m'approchais lentement et arrivé à une courte distance, je m'apercevais que ce dernier était beaucoup plus vieux que les autres. Une multitude de balafre sur le museau et le corps, les pattes un peu tremblantes.

Spoiler:

(Bien, bien, te voici donc, Sesshomaru. )


C'était donc cet animal qui me parlait depuis ce temps, mais pour quel motif. De plus, je n'avais jamais entendu parlé de loup qui communiquait avec les humains grâce à la télépathie.

- Vous êtes la voix qui me parlait, je suppose.

Ma surprise était toujours présente, mais je m'efforçais de ne pas la montrer.

(Oui, tu supposes bien. Maintenant que tu es ici, je vais te parler de ta venue parmi nous. )

Malgré le fait que je sache que c'était lui qui me parlait au travers la pensée, j'étais toujours surpris que ce sois un loup.

(Commençons par le début, j'ai vu que tu avais des réflexes très impressionnant et un talent pour l'observation. Notamment lorsque mes congénères-t-on attaqué par derrière et c'est ce que nous cherchons. )

Il s'arrêtait de me parler, si l'on pouvait dire cela. J'en profitais donc pour essayer de comprendre, mais tant que je n'aurai pas de véritable raison faire sur le voyage vers ce lieu, rien ne serait résolu.

- Ce que vous cherchez ? Soyez-plus explicite, je vous prie Pour l'instant, je ne vois absolument pas ce que je viens faire ici.

Le ton de ma voix était devenue très autoritaire, car la mascarade commençait déjà à m'énerver. Etait-ce une grosse blague de quelqu'un que je côtoyais, même si je ne voyais pas de qui il pouvait bien s'agir. Tant de questions sans réponse qui me laissait perplexe.

(Héhéhé, il est direct, j'aime ça. Venons en au fait puisque c'est ce que tu souhaites. Je te présente ma famille et nous sommes les derniers de notre race. Nous sommes ce que vous nommez, vous, humain, des loups arctiques et à vrai dire cela me fait bien rire, soit. Notre race est en voie de disparition et nous avons quelques particularités comme pouvoir communiquer avec toi)

Si quelqu'un arriverait à ce moment-là, il me prendrait surement pour un fou qui parle à de simple bête, mais il ferait erreurs, car ces loups ne sont pas vraiment des canidés des plus banals, bien au contraire. Ce même inconnu, s'il devait y en avoir un, regarderait en fait un dialogue de sourd et ne comprendrais pas une seule chose de ce qui se passe sous ses yeux. Fort heureusement personne d'autre n'était là et l'endroit était bien protégé, mais surtout caché.

- Cont...


(J'en arrive donc au sujet de ta visite parmi nous. Comme je viens de te le dire, nous avons des particularités comme celle de pouvoir discuter par la pensée, mais aussi d'être invoqué. Voilà ce que je propose. Je veux m'en remettre à ta force, ton instinct et tes réflexes pour que tu protèges mes confrères, car mes jours sont comptés. Il y aura une contrepartie ne t'en fais pas. En protégeant mes frères, nous t'aiderons si tu viens à nous invoquer. Chose à savoir, c'est que nous ne sommes pas tous sous la forme d'un simple quadrupèdes, mais ça je te laisse le découvrir par toi même si tu acceptes. )


Il me proposait de m'aider en les protégeant, le marché était correct à mon sens. Cependant, je n'avais pas confiance que me cachais-t-il ?

- Que dois-je découvrir par moi-même, cela m'intéresse. Je ne veux pas m'engager dans une chose où je n'ai pas toutes les informations. Ce qui est tout à fait normal, à mon humble avis.

Ma phrase était très simple à comprendre, car en la traduisant il fallait comprendre : dit-moi ce que tu me caches où je refuse ton accord d'entre-aide. Le vieux loup me fixait de son regard perçant et souffla un grand jet d'air par son museau.

(Bon je te dirais que de la globalité, certains des nôtres ont des formes un peu humanoïde et d'autres sont plus grands que toi. En revanche, si tu es vraiment bon et apprécier par mes frères, il se pourrait que nous te fassions rencontré notre roi. Malheureusement, je ne peux t'en dire plus, il te faudra que tu te contentes de ses informations. Sache seulement que notre roi possède une puissance très importante et que cela pourrait devenir un très bon allié. Alors qu'en pense tu ? Acceptes-tu ce deal ? )


Tout ceci me paraissait honnête et à vrai dire l'idée d'un allié pourrait m'être utile pour mes desseins futurs. C'était décidé.

- Très bien, j'accepte votre offre, il y a-t-il quelque chose à faire pour conclure ce marché .


(Oui, approche toi. Fais toi saigner de quelque goûte cela sera suffisant et dépose-les sur la marque)

Il ouvrait la bouche pour montrer un sigle sur sa langue, c'était donc ça, un pacte. J'en avais entendu parlé, mais jamais réalisé. D'un pas lent, je m'approchais et en arrivant devant le vieux loup blanc cassé, je me fis saigner grâce à mon épaulière. Tous les autres loups c'étaient rassemblés autour de ce chef déchu et ma personne pour voir la scène. Une petite giclé de sang tomba au sol au moment où ma blessure volontaire s'ouvrit et de mon pousse de toucha le sigle apposé sur la langue de cette bête qui me faisait face. Au moment où les deux éléments se touchèrent, le sigle disparut et une chaleur me chauffa l'épaule.

(Je vais t'envoyer une escorte pour retourner chez toi, frères. Okinu, Mikida, Aru, Kikori, vous serez cette escorte, je compte sur vous. Frère Sesshomaru, nous pouvons continuer de discuter grâce au lien que nous avons formé, je ne vous harcèlerais pas. Je vous contacterai que quand nous aurons besoin d'aide et cela est de même pour vous. Merci de votre aide.)

Je repartais donc comme j'étais arrivé, par le même chemin, mais cette fois-ci avec une escorte de mes "frères" comme le vieux m'avait surnommé. Après des heures de marche sous un ciel gris et neigeux, je me retrouvais à Kayo et je pouvais enfin rentrer chez moi pour me reposer. En retirant mes habits, je m'apercevais que le sigle du pacte avait été transmis sur mon épaule. La journée s'achevait et demain serait un autre jour.
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